Graeme Bali – Directeur général, Ottawa Internationals Soccer Club (OISC)

Graeme Bali – Directeur général, Ottawa Internationals Soccer Club (OISC)

 « Graeme est un modèle d’exemplarité quand il s’agit de permettre aux joueurs de se perfectionner dans un environnement qui assure leur sécurité et leur protection. Il met vraiment tout en œuvre — en travaillant sans relâche — pour s’occuper des joueurs de l’OISC. »

— Fawn Mulholland, auteure de la candidature

Graeme Bali ne néglige aucun effort sur le terrain, pendant la pandémie, pour veiller à ce que les jeunes joueurs de soccer puissent évoluer dans un environnement sécuritaire avec leurs amis et leurs coéquipiers.

Il consacre aux joueurs d’innombrables soirées sur la surface de jeu et fait des semaines de 60 heures et plus sur le terrain, en visioconférence dans Zoom et dans les réunions du conseil afin de leur permettre de se perfectionner et de s’amuser. Sa famille l’aide souvent à s’acquitter de sa charge de travail tard le soir sur le terrain. Sa fille assure le soutien dans l’encadrement; son fils et sa femme — travailleuse de première ligne de jour et bénévole du club le soir — participent au travail de désinfection.

Graeme Bali s’occupe des sports depuis longtemps. Il a commencé à jouer au soccer à l’âge de 4 ans à Hamilton. À 12 ans, il est devenu entraîneur au Repaire jeunesse d’Ottawa, sur la rue Nepean. Il continue de travailler comme bénévole et administrateur professionnel, en plus de participer localement à l’orientation du sport.

« Je donne beaucoup d’importance à ces activités, confie-t-il. Les sports m’ont tellement apporté en général, ce qui remet vraiment en question l’idée que je me fais de moi quand on parle d’un “héros”. »

« Enfant d’une famille monoparentale défavorisée dans les années 1970, le sport a été ma vie et m’a apporté plus que ce que mes coéquipiers ou mes entraîneurs pouvaient imaginer, précise-t-il. En tant qu’entraîneur, je crois que les quelque 30 anciens joueurs qui sont venus à notre mariage m’ont offert tous les remerciements et toute la reconnaissance que j’aurais pu espérer. »

« En somme, je sais ce que le sport m’a apporté, et je tiens à le redonner, affirme Graeme Bali, dont la candidature a été déposée par Fawn Mulholland, entraîneure de l’OISC. Je suis agréablement surpris, infiniment reconnaissant et absolument flatté. »